L'essentiel

Icon de la nomenclature

Nomenclature
du niveau de qualification

Niveau 4

Icon NSF

Code(s) NSF

344 : Sécurite des biens et des personnes, police, surveillance

Icon formacode

Formacode(s)

42802 : Sécurité défense

42803 : Sécurité publique

23641 : Armement

Icon date

Date d’échéance
de l’enregistrement

31-05-2028

Niveau 4

344 : Sécurite des biens et des personnes, police, surveillance

42802 : Sécurité défense

42803 : Sécurité publique

23641 : Armement

31-05-2028

Nom légal Siret Nom commercial Site internet
UNION FRANCAISE DES ACTEURS DE COMPETENCE EN SECURITE 48232688100042 UFACS https://ufacs.org/

Objectifs et contexte de la certification :

Le décret n° 2017-1844 du 29 décembre 2017 relatif à l'exercice de certaines activités privées de sécurité avec le port d'une arme prévoit l'armement en catégorie D (matraque, tonfas, lacrymogènes) et B (armes de poing, lacrymogènes) de certaines catégories d'agents privés de sécurité et d'agents de protection physique des personnes. Les agents qui souhaiteront porter l'une ou l'autre de ces armes devront être autorisés par le CNAPS, pour exercer dans des entreprises habilitées par le CNAPS dans le cadre de missions, elles-aussi autorisées par le Préfet de département ou par le ministère de l'Intérieur.

L'armement :

  • Les arrêtés relatifs à l’armement définissent :
    • Le contenu de la formation initiale et des entraînements annuels à l’armement, pour les activités de sécurité exercées avec des armes de catégories B et D ;
    • Le contenu de la formation continue (MAC) ;
    • Le cahier des charges que devront respecter les organismes de formation pour être certifiés et autorisés par le CNAPS afin de réaliser ces formations ;
    • Les exigences techniques d’acquisition et de stockage des armes.
  • Les armes sont classées en 4 catégories en fonction de leur dangerosité. La dangerosité d'une arme à feu s'apprécie en fonction des critères de répétition du tir et du nombre de coups tirés. À chaque catégorie correspond un régime administratif d'acquisition et de détention (interdiction, autorisation, déclaration, ou détention libre).
    • Arme à feu et matériel de guerre de catégorie A : interdiction sauf dérogation
    • Arme de catégorie B (soumise à autorisation)
    • Arme de catégorie C (soumise à déclaration)
    • Arme de catégorie D (acquisition et détention libres)
    • Carte européenne d'armes à feu

Le dépôt de cette certification est porté par l'UFACS, du fait que la CPNEFP n'ait pas souhaité se saisir et porter cette certification faite de garantie sur le positionnement des salaires et des coefficients des agents (armés ou non), de la refonte des métiers repères, que la crise Covid19 n'a pas facilitée. Une vision intégrant l'armement nécessite au préalable de revoir ces dispositifs avec ou sans armement.

Cette certification s'inscrit dans un travail travail global de l'UFACS sur les métiers des agents de sécurité renforcés armés en D, en B&D, et avec toutes les armes autorisées par la législation (sans arme d'abord, avec arme de poing, pistolet, et arme longue). Ce dossier ASRA D (agent de sécurité renforcé armé avec arme de catégorie D) dispose d'une architecture commune aux 3 certifications déposées (ASRA D et ASRA B&D + A3PRA B&D).

Depuis 2018, d'autres organismes certificateurs ont travaillés sur des demandes d'inscription au RNCP de dossiers de certifications armements en D, en B&D, avec l'arme de poing ou le pistolet, voire avec l'arme longue pour opérer sur sites sensibles. Certains ont été inscrits, d'autres, après refus, continuent de tenter leur chance. UFACS a résolument pris le parti de l'exigence, dans le parcours initial de formation préalable à la certification, et lors de l'évaluation certificative. Lors de cette évaluation certificative, que ce soit à l'issue du parcours de formation, pour les candidatures individuelles, ou pour les candidats avec expérience dans la cadre de la VAE, il est constitué un jury d'experts, l'Ufacs étant systématiquement présent, et des épreuves techniques, tactiques, et de justification de ces actes dans le cadre légal sont organisées avec des grilles d'évaluation complètent pour bien s'assurer ne pas certifier des personnes qui n'ont pas attestées des compétences requises.

Le renouvellement de cette certification s'appuie le retour d'expérience de 28 épreuves certificatives organisées en 2021 et jusqu'en juillet 2022 représentant 139 certifiés. Il a été décidé d'améliorer légèrement les grilles d'évaluation, plus exigeantes en formatif et plus ciblées en certificatif. La présente certification avec armes de catégories D est donc le point d'entrée des autres dossiers présentées, des dispenses pouvant être considérées, si les prérequis en entrée sont avérés.

Activités visées :

Agir normalement, règlementairement et en sécurité, en portant son arme de catégorie D mais sans en faire usage et sans penser à en faire usage. Par la suite en cas de besoin ou de nécessité, faire usage de son arme ou vouloir en faire usage. L’arme de catégorie D est un moyen, un outil supplémentaire pour agir face à des situations nouvelles entrant dans le champ prévu par la loi.

Sécuriser un site, qui a été identifié par la Préfecture.

Venir en appui armé de second niveau d’un autre agent non armé, ou derrière le rideau des agents non armés. 

Intervenir ou opérer dans un périmètre particulier de menace : société identifiée, risque particulier, situation particulière identifiée et autorisée, 

Préparer son arme de catégorie D et se préparer à la porter, la protéger, à en faire usage

Protéger, en tant que primo-arrivant les personnes et les biens en cas d’événements exceptionnels, par l’utilisation de moyens renforcés (létaux ou non),

Alerter à tout moment et dès que possible.

Secourir : porter immédiatement assistance aux personnes si la situation lui permet d’intervenir en sécurité et sans déroger à ses missions principales.

Figer, en cas d’agression, la situation sur les lieux de l’incident.

Interdire, en cas d’agression, l’accès aux lieux figés en défendant sa position.

Neutraliser, en cas d’agression, l’agresseur si nécessaire, et dans le respect de son cadre légal d’intervention.          

Compétences attestées :

Justifier de ses actes par une application stricte, volontaire et anticipée du cadre légal d'usage des armes.

Parfaite application, en sécurité, avec précision, et automatismes avérés des modes opératoires, actions, techniques liés au fonctionnement, à l'entretien, aux règles de sécurité de stockage, de traçabilité et des transport des armes de catégorie D 

Pratique régulière, réglementaire et sécurisée du maniement des armes y compris des usages, techniques de garde, et déplacement avec ou sans armes, pour la catégorie D.   

Préparation, réalisation, gestion des imprévus et clôture de toutes les situations liées aux usages avec armes pour préparer son arme de catégorie D, s'en servir, gérer un incident, quel que soit l'arme et y compris en cas de situation d'urgence ou aggravée, en cas d'intervention avec des équipes non armées ou les forces de l'ordre, en situation de stress,   ...   

Modalités d'évaluation :

Plusieurs mises en situation pratique (techniques et tactiques) - questionnaires à choix multiples sur des questions contextualisées.

Observation des attitudes, des mesures de sécurité, des déplacements avec ou sans arme, de la prise en compte de l'environnement, des consignes données, et de la capacité à justifier de ses actes avant l'action et après l'action.

Description des modalités d'acquisition de la certification par capitalisation des blocs de compétences et/ou par correspondance :

L'architecture globale des certifications armement de l'UFACS, intègre le fait de pouvoir répondre de manière proportionnée devant toutes les situations (mains nue, D et B, donc pour un APS / ASRA, la catégorie B toute seule n'est pas possible si la D n'est pas acquise au préalable, avec l'exercice de la réponse à main nue). Elle est donc la suivante :

  • Certification ASRA D : un seul bloc de compétences, vaut aptitude pour exercer en qualité d'agent de prévention et de sécurité armé en catégorie D, en agent de sécurité renforcé armé en catégorie D, dispense du bloc 01 pour la certification ASRA D&B
  • Certification ASRA D&B : 2 blocs de compétences permettant d'accéder à 4 aptitudes professionnelles différentes et/ou complémentaires :
    • Bloc 01 : vaut aptitude pour exercer en qualité d'agent de prévention et de sécurité armé en catégorie D, en agent de sécurité renforcé armé en catégorie D
    • Bloc 02 : vaut aptitude pour exercer en qualité d'agent de sécurité renforcé armé en catégorie B, soit avec une arme de poing soit avec un pistolet (l'une ou l'autre arme à décider avant l'entrée en parcours d'accès à la certification). le Bloc 01 est requis pour accéder au Bloc 02.

 

Secteurs d’activités :

Entreprises industrielles, tertiaires, des lieux culturels ou événementiels, ou sportifs, des espaces publics fermés ou ouverts, des commerces ou grands magasins, des lieux de stockages, entreprises publiques ou privées.

Type d'emplois accessibles :

Le métier est celui d’agent de prévention et de sécurité, sans principe d’exclusivité de ce métier armé, au regard du métier exerçant sans armes (agent de surveillance armé, agent de prévention et de sécurité armé, etc).

Dans le cadre de l'évolution vers l'emploi agent de sécurité renforcé armé, mais devant être en capacité d'exercer avec une arme de catégorie D, en sus de l'armement en catégorie B, nous privilégions l'appellation qui nous a été requise au moment du dépôt, agent de sécurité renforcé armé avec une arme de catégorie D

Code(s) ROME :

  • K2501 - Gardiennage de locaux
  • K2502 - Management de sécurité privée
  • K2503 - Sécurité et surveillance privées

Références juridiques des règlementations d’activité :

La loi n° 2017-258 du 28 février 2017 relative à  la sécurité publique ainsi que le décret n° 2017-1844 du 29 décembre 2017 définissent le cadre législatif de l’accès à une activité de surveillance armée et de l’exercice d’une mission armée.

  • Le Décret n°2018-542 du 29 juin 2018 version initiale relatif au régime de la fabrication, du commerce, de l’acquisition et de la détention des armes.
  • Le Décret no 2017-1844 du 29 décembre 2017 relatif à l’exercice de certaines activités privées de sécurité avec le port d’une arme.
  • La loi n° 2017-1510 du 30 octobre 2017 renforçant la sécurité intérieure et la lutte contre le terrorisme.
  • Le Code de la Sécurité Intérieure : articles L613-1 à L613-3.
  • Le Code de la sécurité intérieure : articles R613-1 à D613-23.
  • L'Arrêté du 27 juin 2017 modifié, le 28 septembre 2018 pour la partie armement, portant cahier des charges pour la formation initiale aux activités privées de sécurité.
  • L'Arrêté du 27 février 2017 modifié, 28 septembre 2018 pour la partie armement, relatif à la formation continue des agents privés de sécurité et aux entraînements réguliers.
  • L'Arrêté du 28 septembre 2018 sur l'acquisition, la détention et la conservation des armes utilisables dans l'exercice d'activités privées de sécurité.

L’article R.613-3 du CSI stiple que les agents exerçant une activité mentionnée au 1° de l'article L. 611-1 ne peuvent utiliser, dans les conditions fixées à l'article R. 613-3-1, que les matraques de type bâton de défense ou tonfa, matraques ou tonfas télescopiques ou les générateurs d'aérosols incapacitants ou lacrymogènes relevant des a et b de la catégorie D.

Il précise également que les agents mentionnés au 1° bis de l'article L. 611-1 ne peuvent utiliser :

  • Que les armes relevant des 1° et 8° de la catégorie B suivantes :
    • Revolvers chambrés pour le calibre 38 Spécial avec l'emploi exclusif de munitions de service à projectile expansif ;
    • Armes de poing chambrées pour le calibre 9 × 19 (9 mm Lüger), avec l'emploi exclusif de munitions de service à projectile expansif ;
    • Générateurs d'aérosols incapacitants ou lacrymogènes d'une capacité supérieure à 100 ml ;
  • Et les armes relevant des a et b de la catégorie D suivantes :
    • Matraques de type bâton de défense ou tonfa, matraques ou tonfas télescopiques ;
    • Générateurs d'aérosols incapacitants ou lacrymogènes d'une capacité inférieure ou égale à 100 ml.

Le cas échant, prérequis à l’entrée en formation :

  • Être titulaire d’une carte professionnelle en cours de validité (actualisée avec une attestation MAC) et satisfaire aux tests d'aptitude aux compétences en activité privée de sécurité : connaissance et maîtrise du référentiel APS de 175h, chapitre 4, article 7 et 8 de l'arrêté du 27 juin 2017 modifié.
  • Etre en possession d’une autorisation préalable d’entrée en formation délivrée par le CNAPS (Conseil National des Activités Privées de Sécurité) spécifique "Agent de Surveillance Renforcé Armé en D".
  • Satisfaire aux conditions d’agrément (Livre VI du CSI).
  • Avoir validé les tests psychologiques et physiques de l’UFACS.
  • Avoir validé les tests de compréhension écrite et orale (Niveau B2) : les organismes de formation s’assurent que les stagiaires disposent d'une connaissance de la langue française caractérisée par la compréhension du langage nécessaire à l’exercice d’une activité privée de sécurité, ainsi que par la capacité à effectuer un compte rendu, par oral et par écrit. Leur niveau est celui défini par le niveau B2 du Cadre européen commun de référence pour les langues, tel qu'adopté par le comité des ministres du Conseil de l'Europe dans sa recommandation CM/ Rec (2008) du 2 juillet 2008 ; Le candidat peut comprendre le contenu essentiel de sujets concrets ou abstraits dans un texte complexe, y compris une discussion technique dans sa spécialité. Peut communiquer avec un degré de spontanéité et d’aisance tel qu’une conversation avec un locuteur natif ne comportant de tension ni pour l’un ni pour l’autre. Peut s’exprimer de façon claire et détaillée sur une grande gamme de sujets, émettre un avis sur un sujet d’actualité et exposer les avantages et les inconvénients de différentes possibilités.
  • Tout candidat présenté doit posséder un dossier, mis à disposition du jury préalablement au déroulement des épreuves et attestant qu’il dispose d’une connaissance de la langue française caractérisée par la compréhension du langage nécessaire à l’exercice d’une activité privée de sécurité, ainsi que par la capacité à effectuer un compte rendu, par oral et par écrit. Son niveau est celui défini par le niveau B1 du Cadre européen commun de référence pour les langues, tel qu'adopté par le Comité des Ministres du Conseil de l’Europe dans sa recommandation CM/Rec (2008) du 2 juillet 2008. Le candidat peut comprendre le contenu essentiel de sujets concrets ou abstraits dans un texte complexe, y compris une discussion technique dans sa spécialité. Peut communiquer avec un degré de spontanéité et d’aisance tel qu’une conversation avec un locuteur natif ne comportant de tension ni pour l’un ni pour l’autre. Peut s’exprimer de façon claire et détaillée sur une grande gamme de sujets, émettre un avis sur un sujet d’actualité et exposer les avantages et les inconvénients de différentes possibilités. Il démontre sa capacité à effectuer un compte rendu, par oral et par écrit.
  • Les ressortissants étrangers ne peuvent demander une autorisation préalable que s’ils sont titulaires d’un titre de séjour depuis au  moins  5 ans (art. 23 de la Loi pour une sécurité globale préservant les  libertés publié au JO le 25 mai 2021).
  • Concernant spécifiquement les ressortissants étrangers, le test B1 tel que défini par l’arrêté du 31 mars 2022 relatif à la vérification du niveau de maîtrise de la langue française est obligatoire.
  • Posséder un certificat de secourisme SST, PSC1 ou équivalent, valide depuis moins de 2 ans.
  • Fournir un certificat médical de moins de 3 mois, d’aptitude à la pratique sportive en compétition.
  • Satisfaire à un entretien individuel avec un expert métier.

Le cas échant, prérequis à la validation de la certification :

  • Être titulaire d’une carte professionnelle en cours de validité (actualisée avec une attestation MAC) et satisfaire aux tests d'aptitude aux compétences en activité privée de sécurité : connaissance et maîtrise du référentiel APS de 175h, chapitre 4, article 7 et 8 de l'arrêté du 27 juin 2017 modifié.
  • Etre en possession d’une autorisation préalable d’entrée en formation délivrée par le CNAPS (Conseil National des Activités Privées de Sécurité) spécifique "Agent de Surveillance Renforcé Armé en D".
  • Satisfaire aux conditions d’agrément (Livre VI du CSI).
  • Avoir validé les tests psychologiques et physiques de l’UFACS.
  • Avoir validé les tests de compréhension écrite et orale (Niveau B2) : les organismes de formation s’assurent que les stagiaires disposent d'une connaissance de la langue française caractérisée par la compréhension du langage nécessaire à l’exercice d’une activité privée de sécurité, ainsi que par la capacité à effectuer un compte rendu, par oral et par écrit. Leur niveau est celui défini par le niveau B2 du Cadre européen commun de référence pour les langues, tel qu'adopté par le comité des ministres du Conseil de l'Europe dans sa recommandation CM/ Rec (2008) du 2 juillet 2008 ; Le candidat peut comprendre le contenu essentiel de sujets concrets ou abstraits dans un texte complexe, y compris une discussion technique dans sa spécialité. Peut communiquer avec un degré de spontanéité et d’aisance tel qu’une conversation avec un locuteur natif ne comportant de tension ni pour l’un ni pour l’autre. Peut s’exprimer de façon claire et détaillée sur une grande gamme de sujets, émettre un avis sur un sujet d’actualité et exposer les avantages et les inconvénients de différentes possibilités.
  • Tout candidat présenté doit posséder un dossier, mis à disposition du jury préalablement au déroulement des épreuves et attestant qu’il dispose d’une connaissance de la langue française caractérisée par la compréhension du langage nécessaire à l’exercice d’une activité privée de sécurité, ainsi que par la capacité à effectuer un compte rendu, par oral et par écrit. Son niveau est celui défini par le niveau B1 du Cadre européen commun de référence pour les langues, tel qu'adopté par le Comité des Ministres du Conseil de l’Europe dans sa recommandation CM/Rec (2008) du 2 juillet 2008. Le candidat peut comprendre le contenu essentiel de sujets concrets ou abstraits dans un texte complexe, y compris une discussion technique dans sa spécialité. Peut communiquer avec un degré de spontanéité et d’aisance tel qu’une conversation avec un locuteur natif ne comportant de tension ni pour l’un ni pour l’autre. Peut s’exprimer de façon claire et détaillée sur une grande gamme de sujets, émettre un avis sur un sujet d’actualité et exposer les avantages et les inconvénients de différentes possibilités. Il démontre sa capacité à effectuer un compte rendu, par oral et par écrit.
  • Les ressortissants étrangers ne peuvent demander une autorisation préalable que s’ils sont titulaires d’un titre de séjour depuis au  moins  5 ans (art. 23 de la Loi pour une sécurité globale préservant les  libertés publié au JO le 25 mai 2021).
  • Concernant spécifiquement les ressortissants étrangers, le test B1 tel que défini par l’arrêté du 31 mars 2022 relatif à la vérification du niveau de maîtrise de la langue française est obligatoire.
  • Posséder un certificat de secourisme SST, PSC1 ou équivalent, valide depuis moins de 2 ans.
  • Fournir un certificat médical de moins de 3 mois, d’aptitude à la pratique sportive en compétition.
  • Satisfaire à un entretien individuel avec un expert métier.

 

  • Avoir suivi le nombre d’heures minima conformément à l’arrêté initial du 27 juin 2017 modifié, attestées par les états d’émargement individuelles et avoir satisfait aux évaluations certificatives à l'issue des parcours de formation (hors VAE).
  • En cas de parcours de VAE : avoir fourni un livret 1, la fiche autoévaluation remplie et validée, une livret 2 personnel et bien documenté et les preuves associées suffisamment à l'avance pour permettre au membres du jury d'en apprécier le contenu et de planifier ou confirmer la date du jury

Pré-requis disctincts pour les blocs de compétences :

Non

Validité des composantes acquises :

Validité des composantes acquises
Voie d’accès à la certification Oui Non Composition des jurys
Après un parcours de formation sous statut d’élève ou d’étudiant X -
En contrat d’apprentissage X

Le jury est composé, a minima, de trois personnes :
- un représentant des employeurs d'une entreprise exerçant dans les activités privées de sécurité concernées
- un représentant des salariés d''une entreprise exerçant dans les activités privées de sécurité concernées
- une personne titulaire d'un monitorat au maniement des armes délivré par une administration publique

et avec voix consultative le référent de l’action de formation.

Les membres du jury ne font pas partie de l’organisme de formation et ne doivent pas appartenir à la même entreprise de sécurité. Ils justifient, a minima, de deux années d’exercice professionnel dans le domaine d’activité concerné. La composition du jury garantit son impartialité. La désignation, par l’organisme de formation, des membres du jury et du président du jury est validée par l’autorité délivrant le titre enregistré au RNCP. Le président du jury a voix prépondérante. En outre, ils ne peuvent pas évaluer un stagiaire en lien avec leur entreprise. Le président du jury est désigné par l'autorité délivrant le titre inscrit au RNCP. Pourcentage du nombre de personnes extérieures au dispositif  : 33%    

La présence du formateur en tir pour assurer la sécurité des mises en situation est obligatoire.

Après un parcours de formation continue X

Le jury est composé, a minima, de trois personnes :
- un représentant des employeurs d'une entreprise exerçant dans les activités privées de sécurité concernées
- un représentant des salariés d''une entreprise exerçant dans les activités privées de sécurité concernées
- une personne titulaire d'un monitorat au maniement des armes délivré par une administration publique

et avec voix consultative le référent de l’action de formation.

Les membres du jury ne font pas partie de l’organisme de formation et ne doivent pas appartenir à la même entreprise de sécurité. Ils justifient, a minima, de deux années d’exercice professionnel dans le domaine d’activité concerné. La composition du jury garantit son impartialité. La désignation, par l’organisme de formation, des membres du jury et du président du jury est validée par l’autorité délivrant le titre enregistré au RNCP. Le président du jury a voix prépondérante. En outre, ils ne peuvent pas évaluer un stagiaire en lien avec leur entreprise. Le président du jury est désigné par l'autorité délivrant le titre inscrit au RNCP. Pourcentage du nombre de personnes extérieures au dispositif  : 33%    

La présence d'un formateur en tir pour assurer la sécurité des mises en situation est obligatoire.

En contrat de professionnalisation X

Le jury est composé, a minima, de trois personnes :
- un représentant des employeurs d'une entreprise exerçant dans les activités privées de sécurité concernées
- un représentant des salariés d''une entreprise exerçant dans les activités privées de sécurité concernées
- une personne titulaire d'un monitorat au maniement des armes délivré par une administration publique

et avec voix consultative le référent de l’action de formation.

Les membres du jury ne font pas partie de l’organisme de formation et ne doivent pas appartenir à la même entreprise de sécurité. Ils justifient, a minima, de deux années d’exercice professionnel dans le domaine d’activité concerné. La composition du jury garantit son impartialité. La désignation, par l’organisme de formation, des membres du jury et du président du jury est validée par l’autorité délivrant le titre enregistré au RNCP. Le président du jury a voix prépondérante. En outre, ils ne peuvent pas évaluer un stagiaire en lien avec leur entreprise. Le président du jury est désigné par l'autorité délivrant le titre inscrit au RNCP. Pourcentage du nombre de personnes extérieures au dispositif  : 33%    

La présence d'un formateur en tir pour assurer la sécurité des mises en situation est obligatoire.

Par candidature individuelle X

Le jury est composé, a minima, de trois personnes :
- un représentant des employeurs d'une entreprise exerçant dans les activités privées de sécurité concernées
- un représentant des salariés d''une entreprise exerçant dans les activités privées de sécurité concernées
- une personne titulaire d'un monitorat au maniement des armes délivré par une administration publique

et avec voix consultative le référent de l’action de formation.

Les membres du jury ne font pas partie de l’organisme de formation et ne doivent pas appartenir à la même entreprise de sécurité. Ils justifient, a minima, de deux années d’exercice professionnel dans le domaine d’activité concerné. La composition du jury garantit son impartialité. La désignation, par l’organisme de formation, des membres du jury et du président du jury est validée par l’autorité délivrant le titre enregistré au RNCP. Le président du jury a voix prépondérante. En outre, ils ne peuvent pas évaluer un stagiaire en lien avec leur entreprise. Le président du jury est désigné par l'autorité délivrant le titre inscrit au RNCP. Pourcentage du nombre de personnes extérieures au dispositif  : 33%    

La présence d'un formateur en tir pour assurer la sécurité des mises en situation est obligatoire.

Par expérience X

Le jury est composé, a minima, de trois personnes :
- un représentant des employeurs d'une entreprise exerçant dans les activités privées de sécurité concernées
- un représentant des salariés d''une entreprise exerçant dans les activités privées de sécurité concernées
- une personne titulaire d'un monitorat au maniement des armes délivré par une administration publique

et avec voix consultative le référent de l’action de formation.

Les membres du jury ne font pas partie de l’organisme de formation et ne doivent pas appartenir à la même entreprise de sécurité. Ils justifient, a minima, de deux années d’exercice professionnel dans le domaine d’activité concerné. La composition du jury garantit son impartialité. La désignation, par l’organisme de formation, des membres du jury et du président du jury est validée par l’autorité délivrant le titre enregistré au RNCP. Le président du jury a voix prépondérante. En outre, ils ne peuvent pas évaluer un stagiaire en lien avec leur entreprise. Le président du jury est désigné par l'autorité délivrant le titre inscrit au RNCP. Pourcentage du nombre de personnes extérieures au dispositif  : 33%    

La présence d'un formateur en tir pour assurer la sécurité des mises en situation est obligatoire.

Validité des composantes acquises
Oui Non
Inscrite au cadre de la Nouvelle Calédonie X
Inscrite au cadre de la Polynésie française X

Statistiques :

Statistiques
Année d'obtention de la certification Nombre de certifiés Nombre de certifiés à la suite d’un parcours vae Taux d'insertion global à 6 mois (en %) Taux d'insertion dans le métier visé à 6 mois (en %) Taux d'insertion dans le métier visé à 2 ans (en %)
2022 52 0 88 100 -
2021 87 0 99 97 -

Lien internet vers le descriptif de la certification :

https://ufacs.org/

 

https://ufacs.org/les-certifications-professionnelles-ufacs/

et

https://ufacs.org/les-certifications-professionnelles-securite-privee/

 

Liste des organismes préparant à la certification :

Certification(s) antérieure(s) :

Certification(s) antérieure(s)
Code de la fiche Intitulé de la certification remplacée
RNCP34489 Agent de sécurité renforcé armé de catégorie D

Référentiel d'activité, de compétences et d'évaluation :